El club Lovesick es un sitio exclusivo para suscriptores en la dark web que ofrece lo mejor en entretenimiento erótico y ultraviolento. Allí, la matriarca Domino y sus compañeras dominatrix castigan y torturan nada menos que a sus fieles suscriptores, muchos de los cuales pagan un buen dinero para acabar en sus manos ante una gran audiencia anónima.
Pero a los ojos de sus furiosos detractores, Domino es la madre demonio, una súcubo desquiciada que oprime a los hombres convirtiéndolos en sus esclavos. Por este crimen contra los hombres, ella debe ser castigada.​

Depuis 1960, pendant près de cinquante ans, Joseph Farrel a dessiné des femmes en pleurs, humiliées, battues, déformées, perforées, élargies, séquestrées, subissant l'implacable folie sexuelle des hommes. Cet artiste marginal ne respecte rien, brise les tabous élémentaires, ignore l'autocensure. Son œuvre est la plus scandaleuse depuis celle de Sade. Noire, grinçante, choquante, désespérée. « Je ne vais pas au-delà de ce qui est impossible », affirme-t-il dans une formule renversante.

L’univers de Joseph Farrel n’est pas un monde cruel. C’est le monde quotidien. Avec des gens comme vous et moi, qui évoluent dans des lieux que vous fréquentez tous les jours. Deux particularités toutefois : la cruauté quotidienne est ici exprimée sous une seule forme, celle d’un jeu excitant et pervers ; et la victime est toujours une fime.
Joseph Farrel va jusqu'au bout. Et s'il choque, c'est à la manière dont Sade choquait ses contemporains lorsqu'ils se reconnaissaient dans ses écrits. Le parti pris de ce livre ne manque pas d'humour. D'humour noir.

Un’impiegata timida ma per niente remissiva affronta la routine della vita d’ufficio tra le molestie del suo capo e le caste avances di un suo collega. La notte, però, indossati gli indumenti in pelle di una virago, imperversa per le strade della città in una spirale di sesso e ultra-violenza. Barboni, orsi, puttane, preti, poliziotti e pervertiti terminali sono i personaggi di una rutilante orgia grondante sangue, in cui tutti i ruoli sono ribaltati e alla fine non sempre è il più debole a soccombere.
La timida e misteriosa impiegata lo scoprirà a sue spese.

PREFACE: It’s not easy to write a preface to something by Mauro Padovani. His work has been censored, attacked and fiercely criticised, but even appreciated by several readers and insiders. Leaving out Mauro’s undoubted talent, it’s hard to put his tales into a genre, to find words that could explain what you should be waiting for. Here you find tons of sex, horror, S & M, decay, black humour, all pervaded with irony and passion for “bears” - fat hairy men engaged in various sexual affairs. He mimics manga (“Tortures’ school”), Carpenter’s movies (“Motor zombi”), but can also create algid S & M backgrounds without losing the distance and the lightness of the author who refuses to be bounded by genres.

Cindy, jeune provinciale montée à Paris pour ses études, se retrouve rapidement sans le sou et décide de faire des ménages pour payer son loyer. Mais, dressée au plaisir par l'un de ses professeurs, Cindy découvre d'autres moyens de gagner de l'argent…